L’intellectuel et le bruit des bottes de soldats
(Essai sur les journalistes par Simon Tremblay-Pepin)
« Peu et mal formés en général, «vieux de la vieille qui en ont vu d’autres», au mieux, les journalistes sont passés de l’art de la nouvelle à celui du commentaire en moins de temps qu’il n’en faut pour dire «confusion des genres» tant la chaise était vide et demandait à être occupée. Ils ont tôt fait d’ailleurs de s’excuser d’être là, en prenant la position de «l’observateur» de la scène politique, se gardant bien de faire ressortir clairement les positions de principes que sous-tendent les propositions dont ils se rendent à peine compte eux-mêmes. De cet étrange endroit, ils lancent un mélange d’informations, de rumeurs et de considérations politiques basées sur un cadre d’analyse jamais révélé mais toujours pareil, celui du libéralisme politique et des rapports de force organisationnels comme fondements de toute pensée. »
« Peu et mal formés en général, «vieux de la vieille qui en ont vu d’autres», au mieux, les journalistes sont passés de l’art de la nouvelle à celui du commentaire en moins de temps qu’il n’en faut pour dire «confusion des genres» tant la chaise était vide et demandait à être occupée. Ils ont tôt fait d’ailleurs de s’excuser d’être là, en prenant la position de «l’observateur» de la scène politique, se gardant bien de faire ressortir clairement les positions de principes que sous-tendent les propositions dont ils se rendent à peine compte eux-mêmes. De cet étrange endroit, ils lancent un mélange d’informations, de rumeurs et de considérations politiques basées sur un cadre d’analyse jamais révélé mais toujours pareil, celui du libéralisme politique et des rapports de force organisationnels comme fondements de toute pensée. »
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