Dans les coulisses d'Air Canada
Du haut des airs
Robert A. Milton et John Lawrence Reynolds. Libre Expression. 320p.
Au cours des dernières années le transporteur aérien Air Canada a traversé de nombreuses zones de turbulences. Il y a eu le fameux 11 septembre, la guerre en Irak, l'épidémie du SRAS et la réorganisation de la compagnie elle-même. Robert Milton, président d'Air Canada, nous ouvre les portes de la salle du Conseil d'administration et lève le voile sur ce qui a pu se passer en coulisse durant tout ce temps.
Grâce à son livre, le grand public comprend comment fonctionne une compagnie aérienne. Milton nous dit par ailleurs que l'aéroport de Mirabel n'aurait jamais dû être construit. C'est de là que vient le problème point à la ligne. L'administrateur a été voué aux gémonies par les syndicats lorsqu'est venu le temps de la restructuration. Il dénonce aussi le gouvernement Chrétien dont une bonne partie de ses membres se sont comportés comme une bande de voyous opportunistes.
M. Milton a écrit son livre assisté de John Lawrence Reynolds un journaliste collaborateur du Financial Post, du Globe and Mail et au Canadian Living.
Extraits
« Les médias sont apparemment irréprochables. Dans le cas d'Air Canada, à peu près n'importe quoi peut faire les manchettes si c'est négatif. Je pourrais réciter de nombreuses histoires injustes sur notre entreprise, mais ce qui illustre le meiux le manque de professionnalisme de certains journalistes, c'est le choix de « citations » tirées directement de bavardage dans Internet au sujet de l'aviation. Plusieurs journalistes ne cessent de citer ces sources, bien qu'ils n'aient aucune idée de l'identité de leurs auteurs : un enfant de dix ans de Régina, un ancien employé d'Air Canada congédié à juste titre, ou un cadre supérieur de WestJet. Ce type de « reportage » est ridicule et non professionnel. » Page 271
« Chaque fois que nous avons eu affaire à certains représentants du gouvernement fédéral, plutôt que de pouvoir travailler dans un esprit de coopération, nous nous sommes butés à du mépris pour les affaires, et poru notre entreprise en particulier. Les libéraux fédéraux ont traité avec un mépri absolu et un degré d'arrogance incroyable tous ceux qui ne faisaient pas partie de leur clan » Page 313
Robert A. Milton et John Lawrence Reynolds. Libre Expression. 320p.
Au cours des dernières années le transporteur aérien Air Canada a traversé de nombreuses zones de turbulences. Il y a eu le fameux 11 septembre, la guerre en Irak, l'épidémie du SRAS et la réorganisation de la compagnie elle-même. Robert Milton, président d'Air Canada, nous ouvre les portes de la salle du Conseil d'administration et lève le voile sur ce qui a pu se passer en coulisse durant tout ce temps.
Grâce à son livre, le grand public comprend comment fonctionne une compagnie aérienne. Milton nous dit par ailleurs que l'aéroport de Mirabel n'aurait jamais dû être construit. C'est de là que vient le problème point à la ligne. L'administrateur a été voué aux gémonies par les syndicats lorsqu'est venu le temps de la restructuration. Il dénonce aussi le gouvernement Chrétien dont une bonne partie de ses membres se sont comportés comme une bande de voyous opportunistes.
M. Milton a écrit son livre assisté de John Lawrence Reynolds un journaliste collaborateur du Financial Post, du Globe and Mail et au Canadian Living.
Extraits
« Les médias sont apparemment irréprochables. Dans le cas d'Air Canada, à peu près n'importe quoi peut faire les manchettes si c'est négatif. Je pourrais réciter de nombreuses histoires injustes sur notre entreprise, mais ce qui illustre le meiux le manque de professionnalisme de certains journalistes, c'est le choix de « citations » tirées directement de bavardage dans Internet au sujet de l'aviation. Plusieurs journalistes ne cessent de citer ces sources, bien qu'ils n'aient aucune idée de l'identité de leurs auteurs : un enfant de dix ans de Régina, un ancien employé d'Air Canada congédié à juste titre, ou un cadre supérieur de WestJet. Ce type de « reportage » est ridicule et non professionnel. » Page 271
« Chaque fois que nous avons eu affaire à certains représentants du gouvernement fédéral, plutôt que de pouvoir travailler dans un esprit de coopération, nous nous sommes butés à du mépris pour les affaires, et poru notre entreprise en particulier. Les libéraux fédéraux ont traité avec un mépri absolu et un degré d'arrogance incroyable tous ceux qui ne faisaient pas partie de leur clan » Page 313
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