Le plus grand des correspondants de guerre: Ernie Pyle
en anglais
de Paul Lancester
Cet article dresse un portrait du correspondant de guerre américain Ernie Pyle. Un journaliste talentueux et mystique qui s’est fait connaître lors de la Deuxième Guerre mondiale. Ernie Pyle ne s’intéressait pas aux stratégies militaires, mais aux hommes qui composaient l’infanterie américaine et à leur destinée.
Paul Lancester raconte le talent avec lequel il décrivait les soldats, qu’ils soient dans la cuisine ou au front. Ses textes ont été abondamment publiés. Non seulement il s’est mesuré à des centaines de journalistes, mais il était en lice aux côtés d’auteurs tels Ernest Hemingway ou John Steinbeck. Il se faisait constamment demander des autographes par les soldats qui le considéraient comme leur porte-parole. Pourtant, ce correspondant, qui s’est retrouvé au cœur de la guerre, était petit, timide, chétif et il avait toujours l’air de combattre un rhume ou une grippe.
Paul Lancester rappelle qu’il a été critiqué pour avoir manqué d’objectivité comme d’autres de ses collègues américains. Il conclut toutefois qu’il a su transmettre avec véhémence et originalité l’expérience que vivaient ces soldats américains.
de Paul Lancester
Cet article dresse un portrait du correspondant de guerre américain Ernie Pyle. Un journaliste talentueux et mystique qui s’est fait connaître lors de la Deuxième Guerre mondiale. Ernie Pyle ne s’intéressait pas aux stratégies militaires, mais aux hommes qui composaient l’infanterie américaine et à leur destinée.
Paul Lancester raconte le talent avec lequel il décrivait les soldats, qu’ils soient dans la cuisine ou au front. Ses textes ont été abondamment publiés. Non seulement il s’est mesuré à des centaines de journalistes, mais il était en lice aux côtés d’auteurs tels Ernest Hemingway ou John Steinbeck. Il se faisait constamment demander des autographes par les soldats qui le considéraient comme leur porte-parole. Pourtant, ce correspondant, qui s’est retrouvé au cœur de la guerre, était petit, timide, chétif et il avait toujours l’air de combattre un rhume ou une grippe.
Paul Lancester rappelle qu’il a été critiqué pour avoir manqué d’objectivité comme d’autres de ses collègues américains. Il conclut toutefois qu’il a su transmettre avec véhémence et originalité l’expérience que vivaient ces soldats américains.
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