Dans la basse-cour de Téhéran
Si les Iraniennes doivent se battre au jour le jour pour exister au même prix que les hommes devant la loi, elles n’en restent pas moins des femmes. Coquettes. Soignées. Cancanières. Élégantes, en dépit de leur tchador qu’elles détournent en objet de mode. Tellement femmes que la collection « Les Pintades » les a choisies pour son troisième opus. Rencontre avec la journaliste Delphine Minoui, qui rend hommage à ces femmes pour qui la futilité est un combat quotidien.
(Paru le 11.07.2007, par Gaëlle Rolin, lefigaro.fr/madame)
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