La culture chinoise à Cuba : last call
( Cuba Keeps Traditional Chinese Culture Alive )
Avant les grandes nationalisations de Castro qui ont fait fuir les étrangers, La Havane possédait un quartier chinois prospère qui s’étendait sur 44 pâtés de maisons. Maintenant, cette communauté en voie de disparition subsiste grâce aux efforts d’un journaliste de 74 ans, Guillermo Chiu. Son bi-hebdomadaire de quatre pages Kwong Wah Po survit grâce à des subventions gouvernementales, à des nouvelles repiquées et traduites et à des textes de fiction inspirés des arts martiaux. Il s'agit du dernier journal chinois à Cuba.
Avant les grandes nationalisations de Castro qui ont fait fuir les étrangers, La Havane possédait un quartier chinois prospère qui s’étendait sur 44 pâtés de maisons. Maintenant, cette communauté en voie de disparition subsiste grâce aux efforts d’un journaliste de 74 ans, Guillermo Chiu. Son bi-hebdomadaire de quatre pages Kwong Wah Po survit grâce à des subventions gouvernementales, à des nouvelles repiquées et traduites et à des textes de fiction inspirés des arts martiaux. Il s'agit du dernier journal chinois à Cuba.
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