Le documentaire est fabriqué de toutes pièces? Le Comité pour la justice sociale n’en a rien à cirer.
« Je parles (re-sic) cinq langues (….). J'ai par la suite effectuée (re-re-sic) une mineure en études latinos-Américaine (re-re-re-sic) et je suis responsable de l'éducation du public, depuis six ans. » (L’inverse serait fastidieux).
Pour cette éducation du public (nous en l’occurrence), le Comité pour la justice sociale présentera un documentaire fabriqué de toutes pièces, dénoncé par Libération, Le Monde, le New Yorker, etc. Il faut lire les réponses de l’auteur, acculé au pied du mur, à ces attaques. Les politiciens enfargés dans leurs mensonges pourraient y trouver matière à inspiration.
Jeudi 31 janvier, 19h
À Montréal (Cinéma du Parc, 3575, av. du Parc) - Entrée payante
«Le commerce des poissons et des armes.
Dans les années 1960 la perche du Nil a été introduite dans le Lac Victoria, au détriment des autres espèces vivants dans ces eaux. Le poisson a vite dominé l'écosystème du lac et, dû à son abondance, est devenu une culture d'exportation et la base d'une industrie fructueuse. D'immenses avions cargo ex-soviétiques arrivent chaque jour pour se charger des précieux filets, destinés aux marchés européens et ouvrent ainsi la porte à tout autre commerce vers le sud: celui des armes, qui alimentent les guerres civiles innombrables dans la région. »
Maintenant, voyons ce que les journalistes ont découvert, en particulier celui du quotidien Le Monde, dont l'article s’intitule : « Le Cauchemar de Darwin, une supercherie grosse comme la Tanzanie ».
Remarque :
pour la critique du New Yorker, il faut se rendre à la deuxième page de leur site (deuxième paragraphe).
pour la critique du New Yorker, il faut se rendre à la deuxième page de leur site (deuxième paragraphe).
Interview de François Garçon, auteur d’une « Enquête sur le Cauchemar de Darwin »
(Enquête sur le Cauchemar de Darwin, Flammarion, 2006, 262 p.)
(Enquête sur le Cauchemar de Darwin, Flammarion, 2006, 262 p.)
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